Non aux licenciements !

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Attention en aucun cas la CFTC n'a communiqué dans ce sens de l'arrêt du mouvement le vendredi soir. Il y a clairement eu manipulation de la part des médias qui ont donné des informations en se basant sur des sources qu'elles n'ont pas vérifié. Ne trouvez vous pas étrange qu'à aucun moment notre mouvement justifié n'a été repris sur aucune chaine nationale? ne trouvez vous pas bizarre que dès samedi certains médias annoncaient en boucle la fin du conflit. Alors nous vous invitons à être plus que prudent quand vous écoutez les informations et à ne surtout pas faire confiance ni la presse écrite ni à la presse audiovisuelle....
Heuresement que cela n'a pas ete  médiastiser ont l'aire encore plus CONS ...."33% + CDA, -10 ans, départs volontaires, repreneur...."Un flou TOTAL concernant les sois-disants avancées....Prochaine réunion CN2A jeudi 25 juin (LA VASELINE)

[l'étincelle]

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EXTRAIT DU JOURNAL LE PARISIEN DU SAMEDI 20 AU MATIN



En grève depuis lundi contre la suppression de 400 postes et le risque de fermeture du site, les
salariés d'Altis à Corbeil-Essonnes (Essonne) ont décidé de reprendre le travail.





Les syndicats de l'usine de composants électroniques sont convenu de «suspendre mais pas interrompre» leur mouvement «par mesure d'apaisement», après des
négociations jugées satisfaisantes.






«La confiance est rétablie sur les discussions entre les organisations syndicales et la direction d'Altis», a indiqué la CFTC qui ajoute : «A
la moindre entourloupe, on remettra le mouvement en route».

Selon cette organisation syndicale, la direction d'Altis aurait proposé une prime de départ de 28.000 euros pour chacun des 400 salariés qui accepteront de
quitter volontairement l'entreprise, au lieu des 20.000 euros proposés jeudi, ainsi que des indemnités d'1,2 mois de salaire par année d'ancienneté.


Faute de repreneur, Altis fermerait d'ici à la fin de l'année


Les salariés qui ont moins de dix années d'ancienneté et qui étaient en horaires dits postés, c'est-à-dire aux 3 x 8, et qui souhaitent quitter l'entreprise
pourront quant à eux bénéficier d'une prime de 20.000 euros, a indiqué Emmanuel Lhuillier, le responsable de la CFTC, qui précise qu'il y a déjà des prétendants à cette prime car «ils n'ont
plus confiance».


Les négociations doivent reprendre lundi, ont indiqué les organisations syndicales qui veulent évoquer le cas des salariés de plus de 55 ans qui sont en fin de
carrière.«Il reste des détails à éclaircir avec l'Etat car il y a des autorisations à demander», a expliqué Emmanuel Lhuillier.


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La CFTC et Emmanuel Lhuillier sont cités nommément.

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voir surtout cet article du journal Le Figaro : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/06/20/01011-20090620FILWWW00561-altis-maintien-de-la-greve.php


 


D'accord pour faire attention aux mensonges de la presse, mais dans le cas qui nous occupe, il y a trop d'informations concordantes : c'est l'Intersyndicale qui a annoncé vendredi que le
travail reprenait. C'était un mensonge, mais voilà : quelquefois les syndicats mentent. Les syndicats ont annoncé la reprise avant que les grévistes n'en soient convaincus.
Comme les grévistes ne voulaient pas reprendre le vendredi soir, l'intersyndicale a reculé et organisé ce vote à bulletin secret le lundi.